Les Mahdistes… ils attaquent ! ! !
Waouuuh, je suis lancé… Allez après beaucoup de réclamation de Gerard (Son blog), Sorti du fin fond du désert, l’armée du Mahdi avance vers Khartoum…
Inflitrons nous dans la masse de ces fanatiques…
En première ligne l’infanterie en tirailleurs, les bazingers et quelques morts… déjà ?!?
Le pilier de l’armée c’est l’ansar, son arme c’est l’épée ou la lance.
Sa seule protection… C’est sa foie… Glup.
La cavalerie pour poursuivre les fuyards ou contourner l’ennemi (les Anglais d’ici par exemple).
Mais n’oublions, le Mahdi…
Zoulous non mariés
Bon, de temps en temps il est bien de monter l’avancement des projets. Aussi voici le contigents des non marriés pour mon armée Zoulous Principles of War (POW).
Evidement, ces farouches guerriers, il faut les contrôler alors voici un de leur chef…
Allez, un p’tit zoom sur les boucliers…
Un autre chef…
Pour faire bien, je vous conseil d’allez faire un tour ici ou vous pourrez voir les troupes de mon partenaire pour ce jeu et là un site monstrueux (dans le bon sens) sur les zoulous et je dirai même maintenant sur le colonial…
La campagne du Soudan
« Le Nil, avait toujours été là, Longtemps avant Le Caire, longtemps avant les tombeaux des rois. Il était la raison, l’origine de tout. Il est assez malaisé de savoir quelle distance exacte a parcouru ce fleuve…
Voici l’eau des pluies tombées sur l’Abyssinie…
Voici l’eau sortie des grands lacs d’Afrique Centrale et qui se sont écoulées sur six mille cinq cent kilomètres pour verdir l’Egypte…
Le Nil a un long passé. L’histoire de Khartoum, elle, est de date récente, elle remonte à moins d’un siècle, autrement dit à hier dans cette partie du monde.
Cependant si loin que l’on revienne en arrière, tous les souvenirs du Nil ont plusieurs choses en commun. Ainsi en cette région, Dieu fut toujours présent ou si l’on préfère, les Dieux..
Il semble avoir été absolument impossible de vivre au bord de ce fleuve sans avoir entrevu l’éternité. Et le mystère est là en permanence. On y est jamais sûr de rien. On s’y heurte à des questions auquel nul ne peut répondre.
Autre chose, comment se fait-il que tout y fut si énorme, si démesuré et plus grand que la nature ? Vanité ? peut-être. Ou vision, la vanité a toujours marchée de pair avec elle. Et c’est là un des éléments de ce récit. Mais c’est le Nil qui demeure le fait primordial, le Nil et bien entendu le désert…
Avancez, remontez le Nil, laissez l’Egypte et les terres vertes derrière vous, entrez au Soudan. Un million six cent mille kilomètres carré de déserts et de brousailles…
Ce fut là, que sortit de ce vaste néant brûlant de l’afrique, un homme du Nil, un visionnaire fait de mystères et de vanité, surgit vers 1880 pour défier d’abord l’Egypte puis ensuite le monde. Il se faisait appeler le Mahdi, « celui qu’on attendait ». Il rassembla ses hommes des tributs du désert et proclama la guerre sainte…
L’Egypte, engagea une armée de dix mille soldats dont elle confia le commandement à un militaire Anglais de carrière. Ils remontèrent le Nil sur deux mille cinq cent kilomètres, gagnèrent Khartoum et s’enfoncèrent dans le désert pour y anéantir le Mahdi. Notre Histoire aurait pu prendre une tournure bien différente, si le colonel William Hicks, avait oublié, à condition qu’il eu connu, l’élément principal du Soudan : son immensité. Le Mahdi l’y attira toujours plus loin, toujours plus loin… »
Voilà, une petite présentation pour la campagne du Soudan, issue de la voix OFF du film « Khartoum »…
Le lien pour le début du film et ce qui arriva à la colonne du Colonel Hicks…